02/11/2016
Update sur les pensions (IAS 19)
Recommandations :
1) Lister les entreprises pour lesquelles le déficit de pension et/ou le defined benefit obligation représentent une part significative de la market cap (voir listes en annexes)
2) Prendre le déficit en MtoM pour les entreprises dont la date de la revue triennale est proche
3) Etre vigilant sur le discount rate utilisé par les entreprises de l’eurozone, car il y a un manque de benchmark robuste (avec très peu d’Eurozone AA corporate bonds avec de très longues duration)
Suite à la baisse des taux, comment traiter les pensions dans la valorisation d’entreprise?
14/09/2016
Le reverse factoring consiste à faire
financer par un partenaire financier des factures de fournisseurs .
Un tiers (banque) paie le fournisseur à la place de l’acheteur, qui paiera la
banque plus tard.
Avantages:
Risques:
On détecte le reverse factoring via l’augmentation du poste fournisseurs et du cash-flow opérationnel.
Retraitement à effectuer
Penser à retraiter le FCF du reverse factoring qui doit être vu comme un one-off pas toujours soutenable. Et si le reverse factoring se traduit par plus de charges financières, on réajuste l’EV de ce montant.
Le traitement du factoring/reverse factoring dans la valorisation d’entreprise
31/08/2016
Update sur les pensions (IAS 19)
Il existe deux types de régimes à distinguer :
Chaque salarié dispose d’un plan de pension ou DBO « Defined Benefit Obligation ». Le service cost est le coût par salarié par année de service jusqu’à la retraite (DBO/nombre d’années de service). L’interest cost est le coût du DBO en début d’année (DBO x discount rate) . Comment distinguer le service cost de l’interest cost dans le traitement des pensions ?
Distinguer le service cost de l’interest cost dans le traitement des pensions
09/12/2015
IAS 38 concerne la règle de capitalisation des actifs intangibles. En mai 2014, l’IASB apporte une clarification sur les méthodes de dépréciation. L’amendement prévoit une présomption (réfutable) selon laquelle les méthodes d’amortissement basées sur le revenu des immobilisations incorporelles sont inappropriées. En clair : un amortissement fondé sur le chiffre d’affaires n’est pas acceptable car ce critère ne correspond pas à la consommation des avantages d’une immobilisation incorporelle amortissable. La date d’application de cet amendement est le 1er janvier 2016.
Les immobilisations incorporelles sont parfois amorties selon une méthode basée sur le revenu qu’elles génèrent. i.e. : le rythme d’amortissement reflète la génération des revenus.
Exemples : secteur des médias relativement aux droits télévisuels, producteurs de jeux vidéo, entités qui conçoivent ou acquièrent des données sismiques et des cartes, pour lesquelles elles concèdent des licences à des tiers. Les immobilisations incorporelles correspondantes sont amorties selon un rythme qui reflète la génération de ces revenus.
La question posée par l’IASB est de savoir si cette pratique reflète le rythme de consommation de l’actif .
Le point sur la norme IAS 38 (capitalisation des intangibles)