Lettre de la gestion juillet 2019

Temps de lecture : 1 min
   Publié le  
July 16, 2019
 par 
BDL Capital Management

Lettre de la gestion juillet 2019

<!-- wp:paragraph {"align":"left"} --> <p class="has-text-align-left"><strong>Le danger de payer trop cher : retour vers le futur ?</strong><br> « Les gens connaissent le prix de tout et la valeur de rien », Oscar Wilde.</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph --> <p>Chers co-investisseurs,</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:paragraph {"align":"justify"} --> <p class="has-text-align-justify"> Payer trop cher une entreprise ou tout autre actif engendre toujours des déceptions. Elles ont deux origines possibles : soit la qualité de l’entreprise achetée n’est pas à la hauteur des attentes, soit l’investisseur ne gagne pas d’argent car même si l’entreprise a tenu ses promesses, le prix auquel il peut la revendre a baissé entre temps. <br> Dans une lettre précédente, nous avions montré un exemple : L’Oréal, une des plus belles entreprises européennes, avait doublé ses bénéfices entre 2000 et 2010, mais le cours de bourse n’avait pas bougé car le multiple de valorisation avait été divisé par 2 sur la période (cf lettre de la gestion de mars 2019).<br> En 2019, l’enthousiasme du marché pour les valeurs prédictibles et en croissance a atteint progressivement des niveaux extrêmes. ...</p> <!-- /wp:paragraph --> <!-- wp:spacer {"height":48} --> <div style="height:48px" aria-hidden="true" class="wp-block-spacer"></div> <!-- /wp:spacer --> <!-- wp:more --> <!--more--> <!-- /wp:more --> <!-- wp:file {"id":3288,"href":"https://www.bdlcm.com/wp-content/uploads/2019/07/Lettre-de-la-gestion-19-07.pdf"} --> <div class="wp-block-file"></div> <!-- /wp:file --> <!-- wp:paragraph --> <p></p> <!-- /wp:paragraph -->

Lettre de la gestion juillet 2019